

















Compositeur, Islam Zian-Alabdeen n’exerce pas la profession de peintre mais celle de conteur.
S’appuyant sur la poésie du symbolisme Nubien, ce colosse soudanais nous plonge, tel Burt dans Mary Poppins, au cœur de merveilleuses aventures colorées. Assis sur son pinceau magique...
Compositeur, Islam Zian-Alabdeen n’exerce pas la profession de peintre mais celle de conteur.
S’appuyant sur la poésie du symbolisme Nubien, ce colosse soudanais nous plonge, tel Burt dans Mary Poppins, au cœur de merveilleuses aventures colorées. Assis sur son pinceau magique...
Compositeur, Islam Zian-Alabdeen n’exerce pas la profession de peintre mais celle de conteur.
S’appuyant sur la poésie du symbolisme Nubien, ce colosse soudanais nous plonge, tel Burt dans Mary Poppins, au cœur de merveilleuses aventures colorées. Assis sur son pinceau magique...
Peintre urbain et illustrateur digital né à Reims en 1992, WONE, découvre la pratique du Graffiti au début des années 2000. .../... Parfois figuratif, parfois abstrait et plus introspectif, son travail repose sur trois axes fondamentaux : les aplats de couleur, le tracé et l’équilibre des formes.
Peintre urbain et illustrateur digital né à Reims en 1992, WONE, découvre la pratique du Graffiti au début des années 2000. Après une courte période d’activité dans les rues de sa ville natale, il se tourne très vite vers les terrains et usines désaffectés afin d’y expérimenter différents styles. Privilégiant la tranquillité à la visibilité, il consacre une grande partie de son temps à la recherche des lieux abandonnés qui le fascinent, à travers le monde. .../... Parfois figuratif, parfois abstrait et plus introspectif, son travail repose sur trois axes fondamentaux : les aplats de couleur, le tracé et l’équilibre des formes.
Peintre urbain et illustrateur digital né à Reims en 1992, WONE, découvre la pratique du Graffiti au début des années 2000. Après une courte période d’activité dans les rues de sa ville natale, il se tourne très vite vers les terrains et usines désaffectés afin d’y expérimenter différents styles. Privilégiant la tranquillité à la visibilité, il consacre une grande partie de son temps à la recherche des lieux abandonnés qui le fascinent, à travers le monde. En 2016, après avoir validé une licence de concepteur graphique à Lille, l’artiste entame une activité d’illustrateur digital et collabore notamment avec des marques spécialisées dans les sports de glisse. En parallèle, il expose plusieurs fois en Suisse, après avoir remporté le prix du jury pour le concours de « l’homme réinventé par la science » organisé par Art’place, à Genève. Parfois figuratif, parfois abstrait et plus introspectif, son travail repose sur trois axes fondamentaux : les aplats de couleur, le tracé et l’équilibre des formes.
"J’ai peu à peu commencé à peindre. Cette pratique, est devenue une véritable nécessité.
Dans mon travail, le medium est maître. Pas de prédominance de la pensée, je fais confiance à la peinture. Elle me guide et sait quand elle est allée au bout de ses possibilités. Au départ je peignais en noir, sûrement influencé par Pierre Soulages dont j’admire le travail.
Puis la couleur s’est imposée comme un besoin impérieux. Je peins au pinceau, couteau et à la règle par superpositions de couches d’acrylique. Peu à peu la matière fait jaillir la forme de la toile, et devient alors le vrai sujet de ma peinture."
"J’ai peu à peu commencé à peindre. Cette pratique, est devenue une véritable nécessité, qui s’est affirmée grâce aussi aux découvertes que j’ai faites au cours de mes nombreux voyages, et à une rencontre, celle de la peinture de Stanley Casselman à New-York, disciple de Gerhard Richert, qui m’a autant émerveillé et influencé que le maître de l’accumulation Arman.
Dans mon travail, le medium est maître. Pas de prédominance de la pensée, je fais confiance à la peinture. Elle me guide et sait quand elle est allée au bout de ses possibilités. Au départ je peignais en noir, sûrement influencé par Pierre Soulages dont j’admire le travail.
Puis la couleur s’est imposée comme un besoin impérieux. Je peins au pinceau, couteau et à la règle par superpositions de couches d’acrylique. Peu à peu la matière fait jaillir la forme de la toile, et devient alors le vrai sujet de ma peinture."
"J’ai peu à peu commencé à peindre. Cette pratique, est devenue une véritable nécessité, qui s’est affirmée grâce aussi aux découvertes que j’ai faites au cours de mes nombreux voyages, et à une rencontre, celle de la peinture de Stanley Casselman à New-York, disciple de Gerhard Richert, qui m’a autant émerveillé et influencé que le maître de l’accumulation Arman.
Dans mon travail, le medium est maître. Pas de prédominance de la pensée, je fais confiance à la peinture. Elle me guide et sait quand elle est allée au bout de ses possibilités. Au départ je peignais en noir, sûrement influencé par Pierre Soulages dont j’admire le travail.
Puis la couleur s’est imposée comme un besoin impérieux. Je peins au pinceau, couteau et à la règle par superpositions de couches d’acrylique. Peu à peu la matière fait jaillir la forme de la toile, et devient alors le vrai sujet de ma peinture."
"Ma source d'inspiration découle de ma philosophie de vie, de mon regard sur le monde, et de ma réflexion sur la spiritualité comme nourriture de l'esprit."
"Ma source d'inspiration découle de ma philosophie de vie, de mon regard sur le monde, et de ma réflexion sur la spiritualité comme nourriture de l'esprit."
"Ma source d'inspiration découle de ma philosophie de vie, de mon regard sur le monde, et de ma réflexion sur la spiritualité comme nourriture de l'esprit."
Mon expression artistique, figurative à mes débuts, bifurque vers l’abstraction au milieu des années 2000, qui coïncide également avec la participation à mes premières expositions collectives.
La plupart de mes oeuvres intègrent une trame géométrique que je détermine au départ et dans laquelle je créé une fusion entre diverses formes et couleurs – ce sont mes dialogues colorés.
Née à Trèves en 1960, je me consacre à la peinture depuis le milieu des années 1980.
Mon expression artistique, figurative à mes débuts, bifurque vers l’abstraction au milieu des années 2000, qui coïncide également avec la participation à mes premières expositions collectives.
La plupart de mes oeuvres intègrent une trame géométrique que je détermine au départ et dans laquelle je créé une fusion entre diverses formes et couleurs – ce sont mes dialogues colorés.
J’expose mes oeuvres lors d’expositions collectives en France et en Europe ainsi qu’en galerie.
Née à Trèves en 1960, je me consacre à la peinture depuis le milieu des années 1980.
Mon expression artistique, figurative à mes débuts, bifurque vers l’abstraction au milieu des années 2000, qui coïncide également avec la participation à mes premières expositions collectives.
La plupart de mes oeuvres intègrent une trame géométrique que je détermine au départ et dans laquelle je créé une fusion entre diverses formes et couleurs – ce sont mes dialogues colorés.
J’expose mes oeuvres lors d’expositions collectives en France et en Europe ainsi qu’en galerie.
Eric Dabancourt, exposera quelques dessins avec Brigitte Lagarde.
A chaque nouvelle feuille, la caresse de l’encre s’invente sur l’écorce de cellulose. La passion s’invite et de temps à autre, la plume plante ses griffes. Le papier s’égratigne… il est vrai que l’Amour est chose fragile et qu’il faut en prendre soin...
Eric Dabancourt, exposera quelques dessins avec Brigitte Lagarde.
A chaque nouvelle feuille, la caresse de l’encre s’invente sur l’écorce de cellulose. La passion s’invite et de temps à autre, la plume plante ses griffes.
Les lignes se touchent et se séparent pour écrire l’histoire du Monde. Les petits bonheurs, les tragédies, les silences, les jouissances, les espérances… Elles se partagent l’espace, s’échangent et se soutiennent. Ensemble, elles vivent, dansent, se fanent et renaissent. Ailleurs.
Eric Dabancourt, exposera avec Brigitte Lagarde.
A chaque nouvelle feuille, la caresse de l’encre s’invente sur l’écorce de cellulose. La passion s’invite et de temps à autre, la plume plante ses griffes.
Le papier s’égratigne… il est vrai que l’Amour est chose fragile et qu’il faut en prendre soin.
Les lignes se touchent et se séparent pour écrire l’histoire du Monde. Les petits bonheurs, les tragédies, les silences, les jouissances, les espérances… Elles se partagent l’espace, s’échangent et se soutiennent. Ensemble, elles vivent, dansent, se fanent et renaissent. Ailleurs.
Dans son travail, Pauline de Cabarrus interroge la notion de mémoire par le biais de trois techniques qui s’entremêlent : peinture, gravure et installation. Elle questionne plastiquement les traces du temps et le souvenir en utilisant des objets tels que les lettres, les documents administratifs, les écorces, les boîtes, les vitrines, les fioles, les cerfs-volants : objets choisis pour leur force symbolique. Ces objets nous replongent dans le passé qu’il soit personnel, collectif, réel ou fictif.
Dans son travail, Pauline de Cabarrus interroge la notion de mémoire par le biais de trois techniques qui s’entremêlent : peinture, gravure et installation. Elle questionne plastiquement les traces du temps et le souvenir en utilisant des objets tels que les lettres, les documents administratifs, les écorces, les boîtes, les vitrines, les fioles, les cerfs-volants : objets choisis pour leur force symbolique. Ces objets nous replongent dans le passé qu’il soit personnel, collectif, réel ou fictif.
.../... Faire disparaitre les mots et les histoires des objets est un moyen de les faire renaître sous la forme d’une nouvelle mémoire artistique, visuelle et subjective.
Dans son travail, Pauline de Cabarrus interroge la notion de mémoire par le biais de trois techniques qui s’entremêlent : peinture, gravure et installation. Elle questionne plastiquement les traces du temps et le souvenir en utilisant des objets tels que les lettres, les documents administratifs, les écorces, les boîtes, les vitrines, les fioles, les cerfs-volants : objets choisis pour leur force symbolique. Ces objets nous replongent dans le passé qu’il soit personnel, collectif, réel ou fictif.
.../... Elle effectue plus globalement un travail autour de la relique, cet objet témoin d’un temps révolu qui revêt intrinsèquement un caractère sacré ; et sur « le palimpseste », qui désigne un manuscrit dont on a fait disparaitre les écrits, pour y inscrire un nouveau texte. Le palimpseste est paradoxal : il est à la fois oubli et mémoire, trace d’une disparition et porteur d’une nouvelle création. Faire disparaitre les mots et les histoires des objets est un moyen de les faire renaître sous la forme d’une nouvelle mémoire artistique, visuelle et subjective.
Pascal Honoré est un contemplatif, ses œuvres sont des cantates, des rapsodies de lumière ; le naturel bat son plein sur tous les pores de la toile. Le bourgeon s'expose comme la fleur, l'ombre côtoie le vivace.
Dans les œuvres de Pascal Honoré quelque chose respire, tout est dit sur la beauté du monde.
Pascal Honoré est un contemplatif, ses œuvres sont des cantates, des rapsodies de lumière ; le naturel bat son plein sur tous les pores de la toile. Le bourgeon s'expose comme la fleur, l'ombre côtoie le vivace.
Des pierres aux impressions antiques se laissent caresser par les vignes innocentes. La mort « vivante » avec ses creux, ses vides, son errance …chante à tue-tête vers l'infini, entre miel et feuillages.
Dans les œuvres de Pascal Honoré quelque chose respire, tout est dit sur la beauté du monde.
Il aime la musique baroque et cela s'entend.
Pascal Honoré est un contemplatif, ses œuvres sont des cantates, des rapsodies de lumière ; le naturel bat son plein sur tous les pores de la toile. Le bourgeon s'expose comme la fleur, l'ombre côtoie le vivace.
Des pierres aux impressions antiques se laissent caresser par les vignes innocentes. La mort « vivante » avec ses creux, ses vides, son errance …chante à tue-tête vers l'infini, entre miel et feuillages.
Dans les œuvres de Pascal Honoré quelque chose respire, tout est dit sur la beauté du monde.
Il aime la musique baroque et cela s'entend.
Mon travail est axé sur la pratique maîtrisée du phénomène optique, rétinien et symbolique qu'est la couleur. Ici, la couleur s'étend, s'entend comme matériau et médium, sans commencement ni fin sur des surfaces de plus en plus vastes.
Ainsi, le regardeur s'y accroche, s'y perd, s'y noie ou s'en défait au fil du passage changeant de la lumière....
Mon travail est axé sur la pratique maîtrisée du phénomène optique, rétinien et symbolique qu'est la couleur. Ici, la couleur s'étend, s'entend comme matériau et médium, sans commencement ni fin sur des surfaces de plus en plus vastes.
Cette peinture physique devient mentale quand elle pose, non pas la question mais la sensation ou le vague sentiment de la présence invisible et indicible du temps qui passe...
Mon travail est axé sur la pratique maîtrisée du phénomène optique, rétinien et symbolique qu'est la couleur. Ici, la couleur s'étend, s'entend comme matériau et médium, sans commencement ni fin sur des surfaces de plus en plus vastes.
Ainsi, le regardeur s'y accroche, s'y perd, s'y noie ou s'en défait au fil du passage changeant de la lumière.
Il s'agirait de capturer la couleur dans son état primitif pour garder vive et ardente cette sensation physique, bonne, goulue presque comestible qu'on a lorsqu'on ouvre un tube pour la première fois.
Montrer sans jamais démontrer qu'elle se suffit à elle-même pour faire dresser le poil.
Cette peinture physique devient mentale quand elle pose, non pas la question mais la sensation ou le vague sentiment de la présence invisible et indicible du temps qui passe...
Il y a des moments de grâce, hors du temps, des horloges cadencées de notre contemporanéité, suspension du tic-tac de la montre, abolition des trotteuses fourmilières. La vibration du présent, dans une création respiration ; ces moments sont des bénédictions : il convient d’en prendre soin....
Il y a des moments de grâce, hors du temps, des horloges cadencées de notre contemporanéité, suspension du tic-tac de la montre, abolition des trotteuses fourmilières. La vibration du présent, dans une création respiration ; ces moments sont des bénédictions : il convient d’en prendre soin.
Ces moment-là sont différents pour tout-un-chacun.
Je connais ma chance : ces moment-là naissent régulièrement, une fois la porte de l’atelier franchie.
Il y a des moments de grâce, hors du temps, des horloges cadencées de notre contemporanéité, suspension du tic-tac de la montre, abolition des trotteuses fourmilières. La vibration du présent, dans une création respiration ; ces moments sont des bénédictions : il convient d’en prendre soin.
Ces moment-là sont différents pour tout-un-chacun.
Je connais ma chance : ces moment-là naissent régulièrement, une fois la porte de l’atelier franchie.
Laurent Sadirac est né le 14 janvier 1963 à Talence. Son père architecte et sa mère styliste, lui transmettent dès son plus jeune âge le goût de l’épure, du jeu des lignes et des volumes. Haut lieu de son enfance, le Bassin d’Arcachon et sa lumière nourrissent la mémoire qu’il viendra ranimer des années plus tard derrière un objectif. …/… Au milieu des années 2000, il s’éloigne progressivement de la photographie. Sa collection de milliers d’images du Bassin est la matière première d’où il puise l’inspiration de ses premières toiles aquatiques. Les variations de la lumière occupent une place centrale, lui imposant de longues heures de travail pour parfaire sa technique. Plantés dans cet espace chromatique, le plus souvent sur de grands formats, les piquets des parcs à huîtres lui offrent l’infinie possibilité du jeu des perspectives et des lignes. Le geste est sûr, s’amusant des reflets, et comme une mémoire sans limite, de cette ligne d’horizon noyée dans la lumière.
Laurent Sadirac est né le 14 janvier 1963 à Talence. Son père architecte et sa mère styliste, lui transmettent dès son plus jeune âge le goût de l’épure, du jeu des lignes et des volumes. Haut lieu de son enfance, le Bassin d’Arcachon et sa lumière nourrissent la mémoire qu’il viendra ranimer des années plus tard derrière un objectif. …/… Au milieu des années 2000, il s’éloigne progressivement de la photographie. Sa collection de milliers d’images du Bassin est la matière première d’où il puise l’inspiration de ses premières toiles aquatiques. Les variations de la lumière occupent une place centrale, lui imposant de longues heures de travail pour parfaire sa technique. Plantés dans cet espace chromatique, le plus souvent sur de grands formats, les piquets des parcs à huîtres lui offrent l’infinie possibilité du jeu des perspectives et des lignes. Le geste est sûr, s’amusant des reflets, et comme une mémoire sans limite, de cette ligne d’horizon noyée dans la lumière.
Laurent Sadirac est né le 14 janvier 1963 à Talence. Son père architecte et sa mère styliste, lui transmettent dès son plus jeune âge le goût de l’épure, du jeu des lignes et des volumes. Haut lieu de son enfance, le Bassin d’Arcachon et sa lumière nourrissent la mémoire qu’il viendra ranimer des années plus tard derrière un objectif. …/… Au milieu des années 2000, il s’éloigne progressivement de la photographie. Sa collection de milliers d’images du Bassin est la matière première d’où il puise l’inspiration de ses premières toiles aquatiques. Les variations de la lumière occupent une place centrale, lui imposant de longues heures de travail pour parfaire sa technique. Plantés dans cet espace chromatique, le plus souvent sur de grands formats, les piquets des parcs à huîtres lui offrent l’infinie possibilité du jeu des perspectives et des lignes. Le geste est sûr, s’amusant des reflets, et comme une mémoire sans limite, de cette ligne d’horizon noyée dans la lumière.
Nansky voit le jour à L’Isle-Adam, dans un milieu modeste. Cet environnement qui constitue, somme toute, un lot assez commun et d’ordinaire sans conséquences, va dans son cas tracer les contours d’une destinée singulière…/... Ne combattant la morosité de son quotidien que par le recours toujours plus pressant aux ressources de l’imagination, elle développe alors une intense ‘’vie intérieure’’ dont le dessin et la peinture vont vite devenir les modes d’expression privilégiés grâce aux boites de crayons de couleurs et de peinture que lui rapporte son père imprimeur .
En 1986, son père décède brutalement alors qu’elle prépare son baccalauréat.
En 1988, sans plans réfléchis mais animée par une détermination longuement maturée, elle abandonne ses études de publicité et le cocon familial sans se ménager de possibilités de retour…/…
En 1990, après de multiples voyages elle rencontre un marchand d’art qui va l’inciter à peindre; grâce à lui elle découvre les toiles des grands peintres qu’elle n’a jamais vus et ne connait pas.
Totalement autodidacte, elle va rapidement participer à de nombreuses expositions en galeries notamment en Europe, aux États-Unis, en Chine et désormais au Japon. Elle est représentée par plusieurs galeries aujourd’hui.
Nansky voit le jour à L’Isle-Adam, dans un milieu modeste. Cet environnement qui constitue, somme toute, un lot assez commun et d’ordinaire sans conséquences, va dans son cas tracer les contours d’une destinée singulière…/... Ne combattant la morosité de son quotidien que par le recours toujours plus pressant aux ressources de l’imagination, elle développe alors une intense ‘’vie intérieure’’ dont le dessin et la peinture vont vite devenir les modes d’expression privilégiés.
Totalement autodidacte, elle participe à de nombreuses expositions en galeries notamment en Europe, aux États-Unis, en Chine et désormais au Japon. Elle est représentée par plusieurs galeries aujourd’hui.
Nansky voit le jour à L’Isle-Adam, dans un milieu modeste. Cet environnement qui constitue, somme toute, un lot assez commun et d’ordinaire sans conséquences, va dans son cas tracer les contours d’une destinée singulière…/... Ne combattant la morosité de son quotidien que par le recours toujours plus pressant aux ressources de l’imagination, elle développe alors une intense ‘’vie intérieure’’ dont le dessin et la peinture vont vite devenir les modes d’expression privilégiés grâce aux boites de crayons de couleurs et de peinture que lui rapporte son père imprimeur . En 1986, son père décède brutalement alors qu’elle prépare son baccalauréat. En 1988, sans plans réfléchis mais animée par une détermination longuement maturée, elle abandonne ses études de publicité et le cocon familial sans se ménager de possibilités de retour…/… En 1990, après de multiples voyages elle rencontre un marchand d’art qui va l’inciter à peindre; grâce à lui elle découvre les toiles des grands peintres qu’elle n’a jamais vus et ne connait pas.
Totalement autodidacte, elle va rapidement participer à de nombreuses expositions en galeries notamment en Europe, aux États-Unis, en Chine et désormais au Japon. Elle est représentée par plusieurs galeries aujourd’hui.
« Pendant 3 ans j’ai étudié les techniques de la gravure traditionnelle et contemporaine à l’école Supérieure Estienne (Paris).
Après l’obtention de mon diplôme des Métiers d'Art je suis devenue l’assistante de la graveuse Marie-Christine Bourven, avant de m’installer dans mon propre atelier à Reims en 2012 – me permettant ainsi de développer et d’aborder d’autres approches de ce médium. Plus qu’une simple technique, la gravure est avant tout rituelle, se préparant étapes par étapes. Elle en devient alchimique, et chaque processus de création a ce quelque chose de singulier, de la réalisation de la matrice en aveugle à la découverte finale de l’image qui dépasse l’étiquette d'un simple savoir-faire.
Les images oniriques ou les captations de phénomènes naturels sont alors au centre de mes estampes et traduisent alors une approche sensible du monde. »
« Pendant 3 ans j’ai étudié les techniques de la gravure traditionnelle et contemporaine à l’école Supérieure Estienne (Paris).
Après l’obtention de mon diplôme des Métiers d'Art je suis devenue l’assistante de la graveuse Marie-Christine Bourven, avant de m’installer dans mon propre atelier à Reims en 2012 – me permettant ainsi de développer et d’aborder d’autres approches de ce médium. Plus qu’une simple technique, la gravure est avant tout rituelle, se préparant étapes par étapes. Elle en devient alchimique, et chaque processus de création a ce quelque chose de singulier, de la réalisation de la matrice en aveugle à la découverte finale de l’image qui dépasse l’étiquette d'un simple savoir-faire.
Les images oniriques ou les captations de phénomènes naturels sont alors au centre de mes estampes et traduisent alors une approche sensible du monde. »
« Pendant 3 ans j’ai étudié les techniques de la gravure traditionnelle et contemporaine à l’école Supérieure Estienne (Paris).
Après l’obtention de mon diplôme des Métiers d'Art je suis devenue l’assistante de la graveuse Marie-Christine Bourven, avant de m’installer dans mon propre atelier à Reims en 2012 – me permettant ainsi de développer et d’aborder d’autres approches de ce médium. Plus qu’une simple technique, la gravure est avant tout rituelle, se préparant étapes par étapes. Elle en devient alchimique, et chaque processus de création a ce quelque chose de singulier, de la réalisation de la matrice en aveugle à la découverte finale de l’image qui dépasse l’étiquette d'un simple savoir-faire.
Les images oniriques ou les captations de phénomènes naturels sont alors au centre de mes estampes et traduisent alors une approche sensible du monde. »
…Dans la peinture de N’Bo, on se trouve face à un réalisme poétiquement violent, charnu. Choses, plantes, gens, bêtes sont énergiquement présentifiés, presque brutalement. On en prend plein la gueule, et ça fait souvent peur !
(extrait d'un texte de JF Herouard)
…Dans la peinture de N’Bo, on se trouve face à un réalisme poétiquement violent, charnu. Choses, plantes, gens, bêtes sont énergiquement présentifiés, presque brutalement. On en prend plein la gueule, et ça fait souvent peur ! Mais on y rit aussi, de ce monde tragique, expressif, où la bêtise en prend pour son grade. Dans le monde selon N’Bo, on veut vivre lucidement, de toutes les beautés d’une planète menacée, de tous les flots d’amour. Sa peinture est louange et protestation. Elle nous fortifie.
(extrait d'un texte de JF Herouard)
…Dans la peinture de N’Bo, on se trouve face à un réalisme poétiquement violent, charnu. Choses, plantes, gens, bêtes sont énergiquement présentifiés, presque brutalement. On en prend plein la gueule, et ça fait souvent peur ! Mais on y rit aussi, de ce monde tragique, expressif, où la bêtise en prend pour son grade. Dans le monde selon N’Bo, on veut vivre lucidement, de toutes les beautés d’une planète menacée, de tous les flots d’amour. Sa peinture est louange et protestation. Elle nous fortifie.
(extrait d'un texte de JF Herouard)
Les dessins de Juliette Bentolila sont emprunts de culture populaire et d’histoire de l’art classique.
La ligne, travaillée en un souffle, évoque une volonté d’expression à la fois simple et dense. Pas de repentir possible pour ses tracés à l’encre de Chine qui représentent en quelques lignes une mère à l’enfant, un oiseau en vol, un ange, des amoureux…
Pour cette artiste de 32 ans, l’art est le meilleur moyen de lutter pour la paix.
Les dessins de Juliette Bentolila sont emprunts de culture populaire et d’histoire de l’art classique. Des vénus de bande dessinée, des colombes de la paix en manière de graffiti, des odalisques karatékas, traduisent avec humour et tendresse le style de l’artiste.
La ligne, travaillée en un souffle, évoque une volonté d’expression à la fois simple et dense. Pas de repentir possible pour ses tracés à l’encre de Chine qui représentent en quelques lignes une mère à l’enfant, un oiseau en vol, un ange, des amoureux…
Pour cette artiste de 32 ans, l’art est le meilleur moyen de lutter pour la paix.
Les dessins de Juliette Bentolila sont emprunts de culture populaire et d’histoire de l’art classique. Des vénus de bande dessinée, des colombes de la paix en manière de graffiti, des odalisques karatékas, traduisent avec humour et tendresse le style de l’artiste.
La ligne, travaillée en un souffle, évoque une volonté d’expression à la fois simple et dense. Pas de repentir possible pour ses tracés à l’encre de Chine qui représentent en quelques lignes une mère à l’enfant, un oiseau en vol, un ange, des amoureux… Des signes, des emblèmes de paix et d’amour. Dans un appui, un regard, les personnages se posent ou décollent, dans leur pleine vitalité, à la fois doux et puissants.
Pour cette artiste de 32 ans, l’art est le meilleur moyen de lutter pour la paix.
« Spécialisée dans le portrait, mon travail, essentiellement figuratif, s'articule autour de plusieurs axes : du style baroque, au vintage, voire complètement psychédélique, l'essentiel n'est pas pour moi de représenter le réel mais de véhiculer les émotions.
À mi-chemin entre fauvisme et figuratif, je travaille la couleur en aplats, avec la volonté de casser les codes des bases académiques .../..."
« Spécialisée dans le portrait, mon travail, essentiellement figuratif, s'articule autour de plusieurs axes : du style baroque, au vintage, voire complètement psychédélique, l'essentiel n'est pas pour moi de représenter le réel mais de véhiculer les émotions.
À mi-chemin entre fauvisme et figuratif, je travaille la couleur en aplats, avec la volonté de casser les codes des bases académiques.
Je n'ai créé mon entreprise qu'en 2019, mais autant que je m'en souvienne, j'ai toujours exprimé le besoin de créer, modéliser, dessiner, peindre, rendre visible l'invisible et partager mes créations..../..."
« Spécialisée dans le portrait, mon travail, essentiellement figuratif, s'articule autour de plusieurs axes : du style baroque, au vintage, voire complètement psychédélique, l'essentiel n'est pas pour moi de représenter le réel mais de véhiculer les émotions.
À mi-chemin entre fauvisme et figuratif, je travaille la couleur en aplats, avec la volonté de casser les codes des bases académiques.
Je n'ai créé mon entreprise qu'en 2019, mais autant que je m'en souvienne, j'ai toujours exprimé le besoin de créer, modéliser, dessiner, peindre, rendre visible l'invisible et partager mes créations.
En plus du portrait, je cherche à exprimer ma vision de la vie à travers la figuration narrative, toujours guidée par l'instant présent, et l'envie de laisser libre cours à ma fantaisie.
Du portrait fidèle au portrait abstrait, de l'aquarelle à l'huile ou à l'acrylique, du noir et blanc aux teintes violentes, du simple au multiple, commandez votre œuvre d'art personnalisée ! »
Peintre en Décors, sensible à l'art d'imiter les matières, qu'il s'agisse de marqueterie, dorure, fausse-pierre, faux-bois, faux-marbre,...tout est pour Sylvie moyen d'user de ces trompe l'œil sur tous supports. Les tendances, les formes, les couleurs, notre mode de vie...l'influencent. Elle crée, recherche, échange afin de trouver "la" bonne idée pour répondre aux demandes de projet de particuliers ou professionnels.
Peintre en Décors, sensible à l'art d'imiter les matières, qu'il s'agisse de marqueterie, dorure, fausse-pierre, faux-bois, faux-marbre,...tout est pour Sylvie moyen d'user de ces trompe l'œil sur tous supports. Les tendances, les formes, les couleurs, notre mode de vie...l'influencent. Elle crée, recherche, échange afin de trouver "la" bonne idée pour répondre aux demandes de projet de particuliers ou professionnels.
D’origine Champenoise et vivant au cœur des Vignes, l’évidence s’offre à Sylvie :
- Créer aussi des Œuvres, afin de sublimer son terroir par la Bulle !
Ses propositions sont-elles artistiques? décoratives? À vous de les lui définir au gré de vos découvertes.
Peintre en Décors, sensible à l'art d'imiter les matières, qu'il s'agisse de marqueterie, dorure, fausse-pierre, faux-bois, faux-marbre,...tout est pour Sylvie moyen d'user de ces trompe l'œil sur tous supports. Les tendances, les formes, les couleurs, notre mode de vie...l'influencent. Elle crée, recherche, échange afin de trouver "la" bonne idée pour répondre aux demandes de projet de particuliers ou professionnels.
D’origine Champenoise et vivant au cœur des Vignes, l’évidence s’offre à Sylvie :
- Créer aussi des Œuvres, afin de sublimer son terroir par la Bulle !
Ses propositions sont-elles artistiques? décoratives? À vous de les lui définir au gré de vos découvertes.
"Poussée par la soif d’apprendre et d’exploiter de nouveaux centres d’intérêt, je suis peintre autodidacte depuis 4 ans.
Mon univers artistique s’est rapidement orienté vers le culte de la FEMME, non seulement pour sa plastique, sa beauté, son élégance mais surtout la sensibilité qu’elle inspire.
"Poussée par la soif d’apprendre et d’exploiter de nouveaux centres d’intérêt, je suis peintre autodidacte depuis 4 ans.
Mon univers artistique s’est rapidement orienté vers le culte de la FEMME, non seulement pour sa plastique, sa beauté, son élégance mais surtout la sensibilité qu’elle inspire.
A travers les couleurs, les ombres, les lumières, les mouvements, les attitudes, je suggère des émotions propres à chaque personne qui découvre mes toiles.
Grâce à cet art, j’ai trouvé l’évasion, la sérénité et surtout une passion."
« LES FEMMES SONT COMME LE SUSPENSE, PLUS ELLES EVEILLENT L’IMAGINATION PLUS ELLES SUSCITENT L’EMOTION. » Alfred Hitchcock
"Poussée par la soif d’apprendre et d’exploiter de nouveaux centres d’intérêt, je suis peintre autodidacte depuis 4 ans.
Mon univers artistique s’est rapidement orienté vers le culte de la FEMME, non seulement pour sa plastique, sa beauté, son élégance mais surtout la sensibilité qu’elle inspire.
A travers les couleurs, les ombres, les lumières, les mouvements, les attitudes, je suggère des émotions propres à chaque personne qui découvre mes toiles.
Grâce à cet art, j’ai trouvé l’évasion, la sérénité et surtout une passion."
« LES FEMMES SONT COMME LE SUSPENSE, PLUS ELLES EVEILLENT L’IMAGINATION PLUS ELLES SUSCITENT L’EMOTION. » Alfred Hitchcock