Mêlant instinct et âme, la peinture de Caroline BRUN, apporte une profondeur certaine à la dégustation et ouvre le chemin d'une dimension pluri-sensorielle nouvelle. Ses techniques artistiques sont instinctives. Son style artistique est aussi varié que peuvent l'être les vins dégustés, aussi chatoyant et riche en couleurs qu'épuré.
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Mêlant instinct et âme, la peinture de Caroline BRUN, apporte une profondeur certaine à la dégustation et ouvre le chemin d'une dimension pluri-sensorielle nouvelle. Ses techniques artistiques sont instinctives. Son style artistique est aussi varié que peuvent l'être les vins dégustés, aussi chatoyant et riche en couleurs qu'épuré.
Née dans le vin, membre de jury de dégustation internationaux, saké sommelier certifiée, elle partage son amour du vin au quotidien ce qui en fait un palais averti. Synesthète, elle peint ses fiches de dégustation.
La texture d'un vin se transforme en un jeu de ganularités savamment disposées, la légèreté d'une bulle devient un insert d'or verticalité avec précision et la vivacité en bouche se transforme en un geste énergique, alors qu'un vin ciselé se mue en un trait de couteau ,instrument que l'artiste affectionne dans sa technique picturale.
Mêlant instinct et âme, la peinture de Caroline BRUN, apporte une profondeur certaine à la dégustation et ouvre le chemin d'une dimension pluri-sensorielle nouvelle. Ses techniques artistiques sont instinctives. Son style artistique est aussi varié que peuvent l'être les vins dégustés, aussi chatoyant et riche en couleurs qu'épuré.
Née dans le vin, membre de jury de dégustation internationaux, saké sommelier certifiée, elle partage son amour du vin au quotidien ce qui en fait un palais averti. Synesthète, elle peint ses fiches de dégustation.
La texture d'un vin se transforme en un jeu de ganularités savamment disposées, la légèreté d'une bulle devient un insert d'or verticalité avec précision et la vivacité en bouche se transforme en un geste énergique, alors qu'un vin ciselé se mue en un trait de couteau ,instrument que l'artiste affectionne dans sa technique picturale.
"Dans mes peintures, je m’interroge sur les différentes possibilités de représentation. Je travaille sur la mise en évidence des structures picturales, sur la transformation des formes, sur la remise en cause du temps et de l’espace… De près il y a des traits de peintures, des gestes, parfois brusques, violents, rageurs… de plus loin le bruit et la vie d’une métropole.../..."
"Dans mes peintures, je m’interroge sur les différentes possibilités de représentation. Je travaille sur la mise en évidence des structures picturales, sur la transformation des formes, sur la remise en cause du temps et de l’espace… De près il y a des traits de peintures, des gestes, parfois brusques, violents, rageurs… de plus loin le bruit et la vie d’une métropole. Plus on recule, plus l’on s’éloigne de la toile, plus la vision se fait précise, tout n’est pas saisi au premier coup d’œil, le tableau est ainsi vivant.
Dans mes toiles que je qualifie de « Vibrations variées », c’est un moment que j’« emprunte » au temps, c’est une fixation du monde réel; je jette sur la toile ce que j’ai dans l’esprit, je marque mon « empreinte » sur la toile. En transcrivant ainsi mes souvenirs, je crée des doutes sur ce qui existe effectivement, ce qui est réel, par opposition à ce qui est imaginé, rêvé, fictif…"
"Dans mes peintures, je m’interroge sur les différentes possibilités de représentation. Je travaille sur la mise en évidence des structures picturales, sur la transformation des formes, sur la remise en cause du temps et de l’espace… De près il y a des traits de peintures, des gestes, parfois brusques, violents, rageurs… de plus loin le bruit et la vie d’une métropole. Plus on recule, plus l’on s’éloigne de la toile, plus la vision se fait précise, tout n’est pas saisi au premier coup d’œil, le tableau est ainsi vivant.
Dans mes toiles que je qualifie de « Vibrations variées », c’est un moment que j’« emprunte » au temps, c’est une fixation du monde réel; je jette sur la toile ce que j’ai dans l’esprit, je marque mon « empreinte » sur la toile. En transcrivant ainsi mes souvenirs, je crée des doutes sur ce qui existe effectivement, ce qui est réel, par opposition à ce qui est imaginé, rêvé, fictif…"
"Peintre, photographe, collagiste et plasticien, je suis un expérimentateur qui fait sienne la phrase de Kurt Schwitters : « Mon idéal est de mettre en relation toutes les choses du monde »."
"Peintre, photographe, collagiste et plasticien, je suis un expérimentateur qui fait sienne la phrase de Kurt Schwitters : « Mon idéal est de mettre en relation toutes les choses du monde »."
"Peintre, photographe, collagiste et plasticien, je suis un expérimentateur qui fait sienne la phrase de Kurt Schwitters : « Mon idéal est de mettre en relation toutes les choses du monde »."
Peintre autodidacte, révélée il y a 10 ans, c’est dans le monde de l’histoire et de l’art qu’elle évolue depuis l’enfance. Le milieu de la création l’enthousiasme, mais ce n’est que 35 ans plus tard qu’elle s’y ouvre enfin et se déploie violemment et intimement.
Peintre autodidacte, révélée il y a 10 ans, c’est dans le monde de l’histoire et de l’art qu’elle évolue depuis l’enfance. Le milieu de la création l’enthousiasme, mais ce n’est que 35 ans plus tard qu’elle s’y ouvre enfin et se déploie violemment et intimement.
Peintre autodidacte, révélée il y a 10 ans, c’est dans le monde de l’histoire et de l’art qu’elle évolue depuis l’enfance. Le milieu de la création l’enthousiasme, mais ce n’est que 35 ans plus tard qu’elle s’y ouvre enfin et se déploie violemment et intimement.
L’idée d’un sensualisme radical dur : "Trimer la trame. Je choisis un beau châssis, que je pose couché. J’y colle du tissu dessus, je maroufle, gondole, encolle et décolle. Je patauge, tel un cochon dans son auge. Lorsque la toile est encore aimante, je l’enduis. Je cherche, trouve et cerne. Enfin l’introduction de la couleur, les rythmes bancals à contretemps. La forme est ronde, la courbe est douce… et si l’on sonne, il n’y a personne …"
L’idée d’un sensualisme radical dur : "Trimer la trame. Je choisis un beau châssis, que je pose couché. J’y colle du tissu dessus, je maroufle, gondole, encolle et décolle. Je patauge, tel un cochon dans son auge. Lorsque la toile est encore aimante, je l’enduis. Je cherche, trouve et cerne. Enfin l’introduction de la couleur, les rythmes bancals à contretemps. La forme est ronde, la courbe est douce… et si l’on sonne, il n’y a personne …"
L’idée d’un sensualisme radical dur : "Trimer la trame. Je choisis un beau châssis, que je pose couché. J’y colle du tissu dessus, je maroufle, gondole, encolle et décolle. Je patauge, tel un cochon dans son auge. Lorsque la toile est encore aimante, je l’enduis. Je cherche, trouve et cerne. Enfin l’introduction de la couleur, les rythmes bancals à contretemps. La forme est ronde, la courbe est douce… et si l’on sonne, il n’y a personne …"
"Passionnée par le monde de l’estampe, je pratique la gravure en taille douce depuis 1998.
Les recherches plastiques sur la lumière et les changements d’atmosphère donnent lieu à des séries de gravures.../..."
"Passionnée par le monde de l’estampe, je pratique la gravure en taille douce depuis 1998.
Les recherches plastiques sur la lumière et les changements d’atmosphère donnent lieu à des séries de gravures.../..."
"Passionnée par le monde de l’estampe, je pratique la gravure en taille douce depuis 1998.
Les recherches plastiques sur la lumière et les changements d’atmosphère donnent lieu à des séries de gravures.../..."
Avec leur tête bizarre, leurs postures extravagantes, les personnages peints par Maxime Frairot ne laissent pas indifférents. Sur la toile, l’artiste s’amuse à créer des assemblées improbables, des portraits de famille absurdes. Les visages aux yeux écarquillés, cernés de noirs, provoquent une sensation d’étrangeté, une tension narrative. Mais qui regarde qui dans ce face-à-face étonné ? Le spectateur de l’œuvre ou le personnage représenté ?
Avec leur tête bizarre, leurs postures extravagantes, les personnages peints par Maxime Frairot ne laissent pas indifférents. Sur la toile, l’artiste s’amuse à créer des assemblées improbables, des portraits de famille absurdes. Les visages aux yeux écarquillés, cernés de noirs, provoquent une sensation d’étrangeté, une tension narrative. Mais qui regarde qui dans ce face-à-face étonné ? Le spectateur de l’œuvre ou le personnage représenté ?
Selon son humeur, chacun voit ce qu’il veut sur la toile. « Mes personnages semblent pris sur le fait, comme s’ils attendaient un événement. Ils ne sont ni tristes ni gais. Mais les visiteurs de mes expositions projettent sur eux leurs propres émotions. » L’artiste ne délivre pas de message particulier. Il prend plaisir à peindre, à jouer avec la couleur, les formes, les textures. Il marie les techniques au gré de sa fantaisie, mélangeant acrylique, huile, encre, fusain, pastel, crayons de couleur…
Avec leur tête bizarre, leurs postures extravagantes, les personnages peints par Maxime Frairot ne laissent pas indifférents. Sur la toile, l’artiste s’amuse à créer des assemblées improbables, des portraits de famille absurdes. Les visages aux yeux écarquillés, cernés de noirs, provoquent une sensation d’étrangeté, une tension narrative. Mais qui regarde qui dans ce face-à-face étonné ? Le spectateur de l’œuvre ou le personnage représenté ?
Selon son humeur, chacun voit ce qu’il veut sur la toile. « Mes personnages semblent pris sur le fait, comme s’ils attendaient un événement. Ils ne sont ni tristes ni gais. Mais les visiteurs de mes expositions projettent sur eux leurs propres émotions. » L’artiste ne délivre pas de message particulier. Il prend plaisir à peindre, à jouer avec la couleur, les formes, les textures. Il marie les techniques au gré de sa fantaisie, mélangeant acrylique, huile, encre, fusain, pastel, crayons de couleur…
"La matière se retient de trop en dire et du paysage qui se dévoile comme à regret nous ne discernons que le squelette intangible. Aux frontières de l'abstraction, des formes que l'on peine à définir - roches, nuages, ovules ? - surnagent et dessinent les contours d'un monde secret, habité par des tensions souterraines, des vibrations poétiques qui sont comme les relevés sismiques d'un esprit en phase avec na nature et qui en ressent les intimes pulsions .../..."
"La matière se retient de trop en dire et du paysage qui se dévoile comme à regret nous ne discernons que le squelette intangible. Aux frontières de l'abstraction, des formes que l'on peine à définir - roches, nuages, ovules ? - surnagent et dessinent les contours d'un monde secret, habité par des tensions souterraines, des vibrations poétiques qui sont comme les relevés sismiques d'un esprit en phase avec na nature et qui en ressent les intimes pulsions. Le terre de Sienne, le gris anthracite, l'ocre rouge, ces couleurs déchirées ici ou là d'échancrures plus vives, convoquent à l'esprit le souvenir de peintures rupestres. Et c'est comme si la peinture permettait de remonter le temps, de renouer avec les origines de la vie .../..."
"La matière se retient de trop en dire et du paysage qui se dévoile comme à regret nous ne discernons que le squelette intangible. Aux frontières de l'abstraction, des formes que l'on peine à définir - roches, nuages, ovules ? - surnagent et dessinent les contours d'un monde secret, habité par des tensions souterraines, des vibrations poétiques qui sont comme les relevés sismiques d'un esprit en phase avec na nature et qui en ressent les intimes pulsions. Le terre de Sienne, le gris anthracite, l'ocre rouge, ces couleurs déchirées ici ou là d'échancrures plus vives, convoquent à l'esprit le souvenir de peintures rupestres. Et c'est comme si la peinture permettait de remonter le temps, de renouer avec les origines de la vie. Là, sous la surface, palpitent les ombres d'un temps qui frémit encore. lI faut laisser le regard s'abandonner aux aspérités et aux grands silences de cette étendue de pigments intimement mêlés et ressentir ce faisant le mystère qui en émane - mystère chuchotant qui vient redessiner les territoires du visible."
Pascal Honoré est un contemplatif, ses œuvres sont des cantates, des rapsodies de lumière ; le naturel bat son plein sur tous les pores de la toile. Le bourgeon s'expose comme la fleur, l'ombre côtoie le vivace.
Dans les œuvres de Pascal Honoré quelque chose respire, tout est dit sur la beauté du monde.
Pascal Honoré est un contemplatif, ses œuvres sont des cantates, des rapsodies de lumière ; le naturel bat son plein sur tous les pores de la toile. Le bourgeon s'expose comme la fleur, l'ombre côtoie le vivace.
Des pierres aux impressions antiques se laissent caresser par les vignes innocentes. La mort « vivante » avec ses creux, ses vides, son errance …chante à tue-tête vers l'infini, entre miel et feuillages.
Dans les œuvres de Pascal Honoré quelque chose respire, tout est dit sur la beauté du monde.
Pascal Honoré est un contemplatif, ses œuvres sont des cantates, des rapsodies de lumière ; le naturel bat son plein sur tous les pores de la toile. Le bourgeon s'expose comme la fleur, l'ombre côtoie le vivace.
Des pierres aux impressions antiques se laissent caresser par les vignes innocentes. La mort « vivante » avec ses creux, ses vides, son errance …chante à tue-tête vers l'infini, entre miel et feuillages.
Dans les œuvres de Pascal Honoré quelque chose respire, tout est dit sur la beauté du monde.
Issue d’une famille d’artistes, Claude Jacquesson dessine depuis l’enfance.
Souvent décrite comme ‘‘peintre de la matière ’’, elle en ressent profondément la présence et a à cœur d’en évoquer picturalement les divers aspects.
Le bois, le métal, la pierre ou les multiples textures de la nourriture sont pour elle autant d’œuvres d’art.
Souvent en contact avec la nature, elle y a rencontré l’eau, matière sensible au mouvement et à la lumière, sujet de ses recherches sur la fluidité, la transparence et les reflets.
Son travail est une invitation via la toile à laisser la pensée voguer au fil des lignes, des couleurs, entre sillages et remous.
Issue d’une famille d’artistes, Claude Jacquesson dessine depuis l’enfance. Souvent décrite comme ‘‘peintre de la matière ’’, elle en ressent profondément la présence et a à cœur d’en évoquer picturalement les divers aspects. Le bois, le métal, la pierre ou les multiples textures de la nourriture sont pour elle autant d’œuvres d’art.
Souvent en contact avec la nature, elle y a rencontré l’eau, matière sensible au mouvement et à la lumière, sujet de ses recherches sur la fluidité, la transparence et les reflets.
Son travail est une invitation via la toile à laisser la pensée voguer au fil des lignes, des couleurs, entre sillages et remous.
Issue d’une famille d’artistes, Claude Jacquesson dessine depuis l’enfance. Souvent décrite comme ‘‘peintre de la matière ’’, elle en ressent profondément la présence et a à cœur d’en évoquer picturalement les divers aspects. Le bois, le métal, la pierre ou les multiples textures de la nourriture sont pour elle autant d’œuvres d’art.
Souvent en contact avec la nature, elle y a rencontré l’eau, matière sensible au mouvement et à la lumière, sujet de ses recherches sur la fluidité, la transparence et les reflets.
Son travail est une invitation via la toile à laisser la pensée voguer au fil des lignes, des couleurs, entre sillages et remous.
Né en 1971, Serge Krewiss a fait des études supérieures d’Arts Plastiques et d’histoire de l’Art à La Sorbonne, à Paris, où il vit actuellement.
Dans son travail, il n’a eu de cesse d’explorer, de donner à voir la lumière .../...
Né en 1971, Serge Krewiss a fait des études supérieures d’Arts Plastiques et d’histoire de l’Art à La Sorbonne, à Paris, où il vit actuellement.
Dans son travail, il n’a eu de cesse d’explorer, de donner à voir la lumière.
A travers l’artifice de bouteilles d’eau en plastique, Serge Krewiss explore la trivialité de cette modernité qui dompte et corrompt la nature. L’émotion de la lumière à l’état pur, la limpidité de l’eau, démultipliée par la transparence, et les reflets. Saisissantes et saugrenues, ces bouteilles d’eau, posées là, seules ou à plusieurs, pleines, fermées, muettes : transparence de ces monolithes érigés, improbables. D’autres bouteilles gisant vides, écrasées, concassées, leur bouchon tombé non loin.
Né en 1971, Serge Krewiss a fait des études supérieures d’Arts Plastiques et d’histoire de l’Art à La Sorbonne, à Paris, où il vit actuellement.
Dans son travail, il n’a eu de cesse d’explorer, de donner à voir la lumière.
A travers l’artifice de bouteilles d’eau en plastique, Serge Krewiss explore la trivialité de cette modernité qui dompte et corrompt la nature. L’émotion de la lumière à l’état pur, la limpidité de l’eau, démultipliée par la transparence, et les reflets. Saisissantes et saugrenues, ces bouteilles d’eau, posées là, seules ou à plusieurs, pleines, fermées, muettes : transparence de ces monolithes érigés, improbables. D’autres bouteilles gisant vides, écrasées, concassées, leur bouchon tombé non loin.
Julien Maillot alias LGM-1 s'est récemment lancé dans l'illustration.
« J'ai une formation d'architecte, j'ai toujours travaillé en agence d'architecture. Et avec ces illustrations, j'essaye de mêler toute mon éducation à l'architecture avec mon envie de dessins. J'essaye à travers les illustrations, de raconter une histoire, essayer de capter dans une image ce que moi je ressens par rapport à tel bâtiment, tel lieu. Ce qui me plaît dedans. .../.... »
Julien Maillot alias LGM-1 s'est récemment lancé dans l'illustration.
« J'ai une formation d'architecte, j'ai toujours travaillé en agence d'architecture. Et avec ces illustrations, j'essaye de mêler toute mon éducation à l'architecture avec mon envie de dessins. J'essaye à travers les illustrations, de raconter une histoire, essayer de capter dans une image ce que moi je ressens par rapport à tel bâtiment, tel lieu. Ce qui me plaît dedans. Ça peut être le bâtiment lui-même ou son activité et j'essaye de raconter une histoire à travers une image. Et si ça parle au public et que l'image plaît, c'est gagné pour moi. »
Julien Maillot alias LGM-1 s'est récemment lancé dans l'illustration.
« J'ai une formation d'architecte, j'ai toujours travaillé en agence d'architecture. Et avec ces illustrations, j'essaye de mêler toute mon éducation à l'architecture avec mon envie de dessins. J'essaye à travers les illustrations, de raconter une histoire, essayer de capter dans une image ce que moi je ressens par rapport à tel bâtiment, tel lieu. Ce qui me plaît dedans. Ça peut être le bâtiment lui-même ou son activité et j'essaye de raconter une histoire à travers une image. Et si ça parle au public et que l'image plaît, c'est gagné pour moi. »
Clothilde Lasserre signe des toiles d’une énergie captivante. Conjuguant instinct de la touche, audace des couleurs et sens implacable de la composition, ses Foules valsent entre figuration et abstraction .../...
Clothilde Lasserre signe des toiles d’une énergie captivante. Conjuguant instinct de la touche, audace des couleurs et sens implacable de la composition, ses Foules valsent entre figuration et abstraction. Un perpétuel va et vient entre une vie intérieure et le contact vital avec l’Autre qui se concrétise par des zooms et des prises de recul. Clothilde Lasserre travaille sur l’identité depuis longtemps. Le paradoxe de tout individu : s’intégrer et donc ne pas se différencier tout en gardant sa propre individualité pour ne pas se perdre.
Clothilde Lasserre signe des toiles d’une énergie captivante. Conjuguant instinct de la touche, audace des couleurs et sens implacable de la composition, ses Foules valsent entre figuration et abstraction. Un perpétuel va et vient entre une vie intérieure et le contact vital avec l’Autre qui se concrétise par des zooms et des prises de recul. Clothilde Lasserre travaille sur l’identité depuis longtemps.
Le paradoxe de tout individu : s’intégrer et donc ne pas se différencier tout en gardant sa propre individualité pour ne pas se perdre.
Le bois teinté est le subjectile qui traduit le mieux les intentions de Bertrand PHILIBERT. Matériau naturel riche de formes et de textures purement organiques reflétant la vie, il offre un espace pictural singulier, d'une grande profondeur évocatrice et dynamique .../...
Le bois teinté est le subjectile qui traduit le mieux les intentions de Bertrand PHILIBERT. Matériau naturel riche de formes et de textures purement organiques reflétant la vie, il offre un espace pictural singulier, d'une grande profondeur évocatrice et dynamique.
Influencé par la peinture chinoise et le réalisme américain, Bertrand PHILIBERT nous immerge dans l’immatérialité spatiale des bleus où chaque touche de peinture déposée d'un geste unique et spontané, prend vie en une cellule autonome.
Texturée par les fibres du bois et toujours imprégnée de l'instant qui l'a vu vivre, nuancée par transparence, la touche laisse apparaître l'organisation biologique et changeante du bois qui par là même continue de respirer dans les tableaux et nous communique la puissance de son énergie vitale .../...
Le bois teinté est le subjectile qui traduit le mieux les intentions de Bertrand PHILIBERT. Matériau naturel riche de formes et de textures purement organiques reflétant la vie, il offre un espace pictural singulier, d'une grande profondeur évocatrice et dynamique.
Influencé par la peinture chinoise et le réalisme américain, Bertrand PHILIBERT nous immerge dans l’immatérialité spatiale des bleus où chaque touche de peinture déposée d'un geste unique et spontané, prend vie en une cellule autonome.
Texturée par les fibres du bois et toujours imprégnée de l'instant qui l'a vu vivre, nuancée par transparence, la touche laisse apparaître l'organisation biologique et changeante du bois qui par là même continue de respirer dans les tableaux et nous communique la puissance de son énergie vitale .../...
Antoni RSM est un artiste peintre et sculpteur rémois. Il travaille des sculptures en métal et en béton cellulaire mais également en bois et en plastique, et varie les textures, formats et géométries. Il développe également un univers pictural et graphique sur toiles, en travaillant l’image par le biais de logiciels. Il est également membre et fondateur du collectif La Mine.
Antoni RSM est un artiste peintre et sculpteur rémois. Il travaille des sculptures en métal et en béton cellulaire mais également en bois et en plastique, et varie les textures, formats et géométries. Il développe également un univers pictural et graphique sur toiles, en travaillant l’image par le biais de logiciels. Il est également membre et fondateur du collectif La Mine.
Antoni RSM est un artiste peintre et sculpteur rémois. Il travaille des sculptures en métal et en béton cellulaire mais également en bois et en plastique, et varie les textures, formats et géométries. Il développe également un univers pictural et graphique sur toiles, en travaillant l’image par le biais de logiciels. Il est également membre et fondateur du collectif La Mine.
Artiste autodidacte, Ann Robinson a pratiqué la peinture et exploré le monde de la couleur dans des modes variés avant de s’engager dans la voie du collage. La matière de ses tableaux est constituée de tickets de métro usagés .../...
Artiste autodidacte, Ann Robinson a pratiqué la peinture et exploré le monde de la couleur dans des modes variés avant de s’engager dans la voie du collage. La matière de ses tableaux est constituée de tickets de métro usagés.
Née à Göteborg (Suède) en 1961, de mère suédoise et de père franco-britannique, Ann Robinson a grandi à Bruxelles. Elle vit en France depuis 1989.
Sa jeunesse est marquée par l’amour des chevaux, du dessin, de la nature et des paysages, et aussi par la pratique de plusieurs formes d’artisanat textile qui l’initient aux assemblages de couleurs et de textures. C’est plus tard, en parallèle à ses études supérieures de langues modernes qu’elle concrétise son intérêt grandissant pour la peinture. Ses débuts sont très marqués par l’impressionnisme. L’exemple de Claude Monet avec son cheminement lent et assuré vers l’abstraction lui indique une voie possible pour elle-même.
Artiste autodidacte, Ann Robinson a pratiqué la peinture et exploré le monde de la couleur dans des modes variés avant de s’engager dans la voie du collage. La matière de ses tableaux est constituée de tickets de métro usagés.
Née à Göteborg (Suède) en 1961, de mère suédoise et de père franco-britannique, Ann Robinson a grandi à Bruxelles. Elle vit en France depuis 1989.
Sa jeunesse est marquée par l’amour des chevaux, du dessin, de la nature et des paysages, et aussi par la pratique de plusieurs formes d’artisanat textile qui l’initient aux assemblages de couleurs et de textures. C’est plus tard, en parallèle à ses études supérieures de langues modernes qu’elle concrétise son intérêt grandissant pour la peinture. Ses débuts sont très marqués par l’impressionnisme. L’exemple de Claude Monet avec son cheminement lent et assuré vers l’abstraction lui indique une voie possible pour elle-même.
En dehors de ses réalisations avec la figure humaine, Philippe Tallis est séduit par la faune animale. Il garde en lui le souvenir de son enfance en Afrique, ses espaces, la terre rouge du Botswana et sa nature où l’immobilisme est synonyme de danger.
Ses tableaux saisissent la fulgurance de l’instant et nombre d’entre eux figurent une faune sauvage. À l’occasion les peintures sont réalisées en présence du public. Certaines œuvres ont été créées pendant des événements et sur scène avec des personnalités du monde de la danse contemporaine.
Il aime travailler sur place peignant les animaux dans un parc thématique ou simplement dans la nature en compagnie d’experts de la faune sauvage.
En dehors de ses réalisations avec la figure humaine, Philippe Tallis est séduit par la faune animale. Il garde en lui le souvenir de son enfance en Afrique, ses espaces, la terre rouge du Botswana et sa nature où l’immobilisme est synonyme de danger.
Ses tableaux saisissent la fulgurance de l’instant et nombre d’entre eux figurent une faune sauvage. À l’occasion les peintures sont réalisées en présence du public. Certaines œuvres ont été créées pendant des événements et sur scène avec des personnalités du monde de la danse contemporaine.
Il aime travailler sur place peignant les animaux dans un parc thématique ou simplement dans la nature en compagnie d’experts de la faune sauvage.
En dehors de ses réalisations avec la figure humaine, Philippe Tallis est séduit par la faune animale. Il garde en lui le souvenir de son enfance en Afrique, ses espaces, la terre rouge du Botswana et sa nature où l’immobilisme est synonyme de danger.
Ses tableaux saisissent la fulgurance de l’instant et nombre d’entre eux figurent une faune sauvage. À l’occasion les peintures sont réalisées en présence du public. Certaines œuvres ont été créées pendant des événements et sur scène avec des personnalités du monde de la danse contemporaine.
Il aime travailler sur place peignant les animaux dans un parc thématique ou simplement dans la nature en compagnie d’experts de la faune sauvage.
"Je suis un graveur "repenti" redevenu dessinateur. Je crée des dessins, des affiches, des livres et des expositions. Je travaille aussi pour la télévision française et pour le monde du vin de Champagne. Je dessine surtout en noir et blanc, mais parfois, je laisse une petite place à la couleur qui vient éclairer le dessin.../..."
"Je suis un graveur "repenti" redevenu dessinateur. Je crée des dessins, des affiches, des livres et des expositions. Je travaille aussi pour la télévision française et pour le monde du vin de Champagne. Je dessine surtout en noir et blanc, mais parfois, je laisse une petite place à la couleur qui vient éclairer le dessin. Je propose un monde artistique souriant où la vie se cache dans les détails et dans une poésie qui rappelle l'enfance. Je dissimule souvent dans mes dessins des objets étranges, des animaux fantastiques ou des petits personnages érotiques. Il faut s'approcher lentement de mes images pour les découvrir et les apprivoiser, puis prendre son temps pour découvrir les chemins que je propose."
"Je suis un graveur "repenti" redevenu dessinateur. Je crée des dessins, des affiches, des livres et des expositions. Je travaille aussi pour la télévision française et pour le monde du vin de Champagne. Je dessine surtout en noir et blanc, mais parfois, je laisse une petite place à la couleur qui vient éclairer le dessin. Je propose un monde artistique souriant où la vie se cache dans les détails et dans une poésie qui rappelle l'enfance. Je dissimule souvent dans mes dessins des objets étranges, des animaux fantastiques ou des petits personnages érotiques. Il faut s'approcher lentement de mes images pour les découvrir et les apprivoiser, puis prendre son temps pour découvrir les chemins que je propose."
Christophe-Emmanuel Del Debbio nous présente des oeuvres d'Anaël Topenot, sa mère originaire de Sézanne, disparue en 2018.
Elle était le seul peintre en Europe à avoir couvert pendant 50 ans, et « sur le terrain », une grande partie des secteurs de l'industrie.
Anaël Toponot est la fondatrice du mouvement Art-industrie.
Christophe-Emmanuel Del Debbio nous présente des oeuvres d'Anaël Topenot, sa mère originaire de Sézanne, disparue en 2018.
Elle était le seul peintre en Europe à avoir couvert pendant 50 ans, et « sur le terrain », une grande partie des secteurs de l'industrie.
Anaël Toponot est la fondatrice du mouvement Art-industrie.
Christophe-Emmanuel Del Debbio nous présente des oeuvres d'Anaël Topenot, sa mère originaire de Sézanne, disparue en 2018.
Elle était le seul peintre en Europe à avoir couvert pendant 50 ans, et « sur le terrain », une grande partie des secteurs de l'industrie.
Anaël Toponot est la fondatrice du mouvement Art-industrie.
Explorant différents environnements et thèmes depuis presqu'une trentaine d'années, Laurent Tourrier est un peintre du quotidien. Un quotidien qu'il revisite à travers son bestiaire et des lieux qu'il traverse. Arpentant inlassablement la France à bord du fourgon dans lequel il voyage, il nous en partage sa vision par le biais de ses tableaux et de saynètes empreintes de douceur et d'humanité.
LExplorant différents environnements et thèmes depuis presqu'une trentaine d'années, Laurent Tourrier est un peintre du quotidien. Un quotidien qu'il revisite à travers son bestiaire et des lieux qu'il traverse. Arpentant inlassablement la France à bord du fourgon dans lequel il voyage, il nous en partage sa vision par le biais de ses tableaux et de saynètes empreintes de douceur et d'humanité.
Explorant différents environnements et thèmes depuis presqu'une trentaine d'années, Laurent Tourrier est un peintre du quotidien. Un quotidien qu'il revisite à travers son bestiaire et des lieux qu'il traverse. Arpentant inlassablement la France à bord du fourgon dans lequel il voyage, il nous en partage sa vision par le biais de ses tableaux et de saynètes empreintes de douceur et d'humanité.