Christophe Dumont
Christophe Dumont

Le volume comme moyen d’expression.
Un tas de ferraille pour terrain de jeu
La richesse de la nature comme inspiration.

 

Christophe Dumont explore les mille facettes du monde animal à l’aide de métal, de bois, d’os ou de cuir. Il ne s’agit pas ici de créer, mais plutôt de faire ressentir, de dire la vie, le mouvement, ou la mort, répertoriée, désincarnée.

VLe volume comme moyen d’expression.
Un tas de ferraille pour terrain de jeu
La richesse de la nature comme inspiration.

 

Christophe Dumont explore les mille facettes du monde animal à l’aide de métal, de bois, d’os ou de cuir. Il ne s’agit pas ici de créer, mais plutôt de faire ressentir, de dire la vie, le mouvement, ou la mort, répertoriée, désincarnée.
De son imaginaire, il fait naître des créatures d’un autre temps, d’un autre monde et augmente ainsi peu à peu son univers surnaturel.
Hommage évident au cabinet de curiosités, au « wunderkammer" allemand ou au « studiolo » italien, ces collections emplies des dernières découvertes, merveilles ou monstruosités de la nature aussi bien que de créations humaines les plus extraordinaires, étaient la fierté de leur propriétaire....

Le volume comme moyen d’expression.
Un tas de ferraille pour terrain de jeu
La richesse de la nature comme inspiration.

 

Animaux réels ou fantasmés, minuscules ou surdimensionnés, débonnaires ou monstrueux, clins d’oeil, mise en scène…
Christophe Dumont explore les mille facettes du monde animal à l’aide de métal, de bois, d’os ou de cuir. Il ne s’agit pas ici de créer, mais plutôt de faire ressentir, de dire la vie, le mouvement, ou la mort, répertoriée, désincarnée.
De son imaginaire, il fait naître des créatures d’un autre temps, d’un autre monde et augmente ainsi peu à peu son univers surnaturel.
Hommage évident au cabinet de curiosités, au « wunderkammer" allemand ou au « studiolo » italien, ces collections emplies des dernières découvertes, merveilles ou monstruosités de la nature aussi bien que de créations humaines les plus extraordinaires, étaient la fierté de leur propriétaire....

Eric Junod
Eric Junod

Le travail de création d’Eric JUNOD est une approche singulière de la sculpture, sa matière de prédilection : le bois. Il enchante les grumes de bois de nos forets en y faisant émerger des personnages colorés qu’il nomme « ses p’tits hommes ».

 

Le travail de création d’Eric JUNOD est une approche singulière de la sculpture, sa matière de prédilection : le bois. Il enchante les grumes de bois de nos forets en y faisant émerger des personnages colorés qu’il nomme « ses p’tits hommes ».

 

Le travail de création d’Eric JUNOD est une approche singulière de la sculpture, sa matière de prédilection : le bois. Il enchante les grumes de bois de nos forets en y faisant émerger des personnages colorés qu’il nomme « ses p’tits hommes ».

 

L’ébauche d’apparence grossière par la taille du bois à la tronçonneuse est effacée par la maitrise du travail du bois pour présenter des sculptures d’une belle finesse. Toute la réalisation se fait avec les troncs couchés, de 60cm à 3mètres de long, la rencontre avec l’œuvre se fait lorsque celle-ci est relevée. Des disques abdominaux sont taillés avant brulage et mise en couleur.

Françoise Suin
Françoise Suin

"C’est en 2008 après une vingtaine d’années de peinture à l’huile que j’ai commencé le modelage d’abord avec de la terre puis en utilisant divers matériaux plutôt improbables tels que le papier ou le carton. Courbes, rondeurs, légèreté sont les maitres mots qui me définissent pour créer mon univers de personnages tels que golfeurs, danseuses, hommes et femmes pressés sur terre ou dans les airs comme les aviatrices par exemple."

"C’est en 2008 après une vingtaine d’années de peinture à l’huile que j’ai commencé le modelage d’abord avec de la terre puis en utilisant divers matériaux plutôt improbables tels que le papier ou le carton. Courbes, rondeurs, légèreté sont les maitres mots qui me définissent pour créer mon univers de personnages tels que golfeurs, danseuses, hommes et femmes pressés sur terre ou dans les airs comme les aviatrices par exemple. Tout ce qui peut s’apparenter au mouvement m’intéresse. Je participe à diverses expositions de groupe tout au long de l’année et je dispose d’un atelier ou le public est accueilli en toutes occasions."

"C’est en 2008 après une vingtaine d’années de peinture à l’huile que j’ai commencé le modelage d’abord avec de la terre puis en utilisant divers matériaux plutôt improbables tels que le papier ou le carton. Courbes, rondeurs, légèreté sont les maitres mots qui me définissent pour créer mon univers de personnages tels que golfeurs, danseuses, hommes et femmes pressés sur terre ou dans les airs comme les aviatrices par exemple. Tout ce qui peut s’apparenter au mouvement m’intéresse. Je participe à diverses expositions de groupe tout au long de l’année et je dispose d’un atelier ou le public est accueilli en toutes occasions."

Jean-Paul Moscovino
Jean-Paul Moscovino

Jean Paul MOSCOVINO est né en 1947 à Paris. Etudes de dessin classique.
Il explore différentes techniques : aquarelle, taille douce, sérigraphie, avant d'aborder la sculpture.
Il vit et travaille dans le Loiret depuis 1982.
Jean-Paul Moscovino sculpte la couleur comme on joue avec une épluchure pour reconstituer le fruit …

Jean Paul MOSCOVINO est né en 1947 à Paris. Etudes de dessin classique.
Il explore différentes techniques : aquarelle, taille douce, sérigraphie, avant d'aborder la sculpture.
Il vit et travaille dans le Loiret depuis 1982.
Jean-Paul Moscovino sculpte la couleur comme on joue avec une épluchure pour reconstituer le fruit …

Jean Paul MOSCOVINO est né en 1947 à Paris. Etudes de dessin classique.
Il explore différentes techniques : aquarelle, taille douce, sérigraphie, avant d'aborder la sculpture.
Il vit et travaille dans le Loiret depuis 1982.
Jean-Paul Moscovino sculpte la couleur comme on joue avec une épluchure pour reconstituer le fruit …

Isabelle Thibault
Isabelle Thibault

epuis 2009, j’arpente les chemins de terre.
De la fragilité à la consistance, la voie est infinie.
Le modelage, la translucidité de la porcelaine, la gravure et les empreintes, les variations apportées par les colorants de masse, la plasticité et son durcissement, la fusion ou la vitrification… l’argile permet l’imprévu.

 

« J’ai choisi la céramique comme un instrument de découverte de la réalité.../...

epuis 2009, j’arpente les chemins de terre.
De la fragilité à la consistance, la voie est infinie.
Le modelage, la translucidité de la porcelaine, la gravure et les empreintes, les variations apportées par les colorants de masse, la plasticité et son durcissement, la fusion ou la vitrification… l’argile permet l’imprévu.

 

« J’ai choisi la céramique comme un instrument de découverte de la réalité. La pâte idéale n’est pas forcément la plus malléable mais celle qui donne le plus de plasticité à l’imagination ». Ces mots de Jean Girel (La sagesse du potier - l’œil neuf), j’aurais souhaité les modeler !

Depuis 2009, j’arpente les chemins de terre.
De la fragilité à la consistance, la voie est infinie.
Le modelage, la translucidité de la porcelaine, la gravure et les empreintes, les variations apportées par les colorants de masse, la plasticité et son durcissement, la fusion ou la vitrification… l’argile permet l’imprévu.

 

« J’ai choisi la céramique comme un instrument de découverte de la réalité. La pâte idéale n’est pas forcément la plus malléable mais celle qui donne le plus de plasticité à l’imagination ». Ces mots de Jean Girel (La sagesse du potier - l’œil neuf), j’aurais souhaité les modeler !

Christine Hoffman
Christine Hoffman

Sculpteur céramiste Christine Hoffmann modèle et sculpte le grès.
C’est un univers féminin, poétique et sensuel qu’elle explore. Le travail de modelage est réalisé avec l’intention d’obtenir un toucher rugueux tout en travaillant sur la finesse des traits, sur les petits détails, mais également sur la posture, le mouvement, l’équilibre et le déséquilibre.

Sculpteur céramiste Christine Hoffmann modèle et sculpte le grès. C’est un univers féminin, poétique et sensuel qu’elle explore.
Les personnages qu’elle créés sont texturés et délicats. Le travail de modelage est réalisé avec l’intention d’obtenir un toucher rugueux – par les aspérités et les surépaisseurs d’argiles laissées apparentes sur les corps – tout en travaillant sur la finesse des traits, sur les petits détails, mais également sur la posture, le mouvement, l’équilibre et le déséquilibre.
Ainsi ces femmes sculptées dans le grès sont terriennes, fortes et graves tout en incarnant l’aérien, la délicatesse et la fragilité.

Sculpteur céramiste Christine Hoffmann modèle et sculpte le grès.
Du grès noir, ocre ou encore des terres mêlées. Les pièces qu’elle réalise sont cuites à haute température.
C’est un univers féminin, poétique et sensuel qu’elle explore.
Les personnages qu’elle créés sont texturés et délicats. Le travail de modelage est réalisé avec l’intention d’obtenir un toucher rugueux – par les aspérités et les surépaisseurs d’argiles laissées apparentes sur les corps – tout en travaillant sur la finesse des traits, sur les petits détails, mais également sur la posture, le mouvement, l’équilibre et le déséquilibre.
Ainsi ces femmes sculptées dans le grès sont terriennes, fortes et graves tout en incarnant l’aérien, la délicatesse et la fragilité.

Steven Olivi
Steven Olivi

"Dans le processus de création avec l’argile, je cherche à travers le corps un équilibre, un mouvement une tension…guider mais aussi ce laissé guider par la terre, sentir les points de rupture de la matière et changer l’orientation du mouvement afin d'éviter que la sculpture ne s’effondre ; dans ce processus je n’ai pas d’idée figé, cela s’apparente à une forme de jeu, une relation entre moi et la terre et non pas une intention prédéterminée qui m’amènerai à faire telle œuvre dans le but de… "

"Dans le processus de création avec l’argile, je cherche à travers le corps un équilibre, un mouvement une tension…guider mais aussi ce laissé guider par la terre, sentir les points de rupture de la matière et changer l’orientation du mouvement afin d'éviter que la sculpture ne s’effondre ; dans ce processus je n’ai pas d’idée figé, cela s’apparente à une forme de jeu, une relation entre moi et la terre et non pas une intention prédéterminée qui m’amènerai à faire telle œuvre dans le but de…"

"Dans le processus de création avec l’argile, je cherche à travers le corps un équilibre, un mouvement une tension…guider mais aussi ce laissé guider par la terre, sentir les points de rupture de la matière et changer l’orientation du mouvement afin d'éviter que la sculpture ne s’effondre ; dans ce processus je n’ai pas d’idée figé, cela s’apparente à une forme de jeu, une relation entre moi et la terre et non pas une intention prédéterminée qui m’amènerai à faire telle œuvre dans le but de…"

Gilles Leprince
Gilles Leprince

"Artiste autodidacte travaillant les matières brutes tel que le fer, le bois, la pierre, souvent associées entre elles pour sublimer le jeu des textures, Gilles Leprince nous partage son amour de la matière.
A la recherche permanente du mouvement, traduit dans ses œuvres par la contorsion des matières, des formes et des corps, la thématique de la danse est un des fils conducteurs de son travail.

"Artiste autodidacte travaillant les matières brutes tel que le fer, le bois, la pierre, souvent associées entre elles pour sublimer le jeu des textures, Gilles Leprince nous partage son amour de la matière.
A la recherche permanente du mouvement, traduit dans ses œuvres par la contorsion des matières, des formes et des corps, la thématique de la danse est un des fils conducteurs de son travail.
A la grâce de ses danseuses délicates, s’opposent des totems primitifs et majestueux, symbolisant une volonté de créer instinctive.
Comme un écho à son dynamisme, tout est sujet à création à travers par exemple la récupération de matériaux utilisés de manière détournée ou par la réalisation d’œuvres plus temporelles, sorte de performance de la forme. "

Artiste autodidacte travaillant les matières brutes tel que le fer, le bois, la pierre, souvent associées entre elles pour sublimer le jeu des textures, Gilles Leprince nous partage son amour de la matière.
A la recherche permanente du mouvement, traduit dans ses œuvres par la contorsion des matières, des formes et des corps, la thématique de la danse est un des fils conducteurs de son travail.
A la grâce de ses danseuses délicates, s’opposent des totems primitifs et majestueux, symbolisant une volonté de créer instinctive.
Comme un écho à son dynamisme, tout est sujet à création à travers par exemple la récupération de matériaux utilisés de manière détournée ou par la réalisation d’œuvres plus temporelles, sorte de performance de la forme.

Olivier Courty
Olivier Courty

Olivier Courty a commencé à sculpter au début des années deux mille. S’il évolue aujourd’hui dans le domaine de la sculpture animalière, au commencement ses matériaux de prédilection étaient l’argile, le plâtre, la cire, le ciporex…, et ses axes de recherches étaient l’anatomie, la danse, et les animaux.
Ces représentations subjectives à la fois figuratives, authentiques, mais néanmoins contemporaines sont le fruit d’une recherche permanente, expression de la spontanéité de l’artiste face à la richesse du monde animal pour lequel il a tant de respect et de considération.

Olivier Courty a commencé à sculpter au début des années deux mille. S’il évolue aujourd’hui dans le domaine de la sculpture animalière, au commencement ses matériaux de prédilection étaient l’argile, le plâtre, la cire, le ciporex…, et ses axes de recherches étaient l’anatomie, la danse, et les animaux.

Résolument contemporaines, les sculptures animalières d’Olivier Courty sont travaillées avec autant de vides qui suggèrent des volumes, qu’avec une énergie trouvant le réalisme de la posture et la vivacité d’un regard, capturés et figés dans le mouvement.
Ces représentations subjectives à la fois figuratives, authentiques, mais néanmoins contemporaines sont le fruit d’une recherche permanente, expression de la spontanéité de l’artiste face à la richesse du monde animal pour lequel il a tant de respect et de considération.

Olivier Courty a commencé à sculpter au début des années deux mille. S’il évolue aujourd’hui dans le domaine de la sculpture animalière, au commencement ses matériaux de prédilection étaient l’argile, le plâtre, la cire, le ciporex…, et ses axes de recherches étaient l’anatomie, la danse, et les animaux.

Résolument contemporaines, les sculptures animalières d’Olivier Courty sont travaillées avec autant de vides qui suggèrent des volumes, qu’avec une énergie trouvant le réalisme de la posture et la vivacité d’un regard, capturés et figés dans le mouvement.
Ces représentations subjectives à la fois figuratives, authentiques, mais néanmoins contemporaines sont le fruit d’une recherche permanente, expression de la spontanéité de l’artiste face à la richesse du monde animal pour lequel il a tant de respect et de considération.

Christian Paix
Chistian Paix

"Mettre en scène des personnages peut faire rire ou pleurer. Christian Paix a fait le choix de déclencher le rire. Drôle voire comiques, ses scènes humoristiques colorent le quotidien d’une dose, non négligeable, de bonne humeur."

"Mettre en scène des personnages peut faire rire ou pleurer. Christian Paix a fait le choix de déclencher le rire. Drôle voire comiques, ses scènes humoristiques colorent le quotidien d’une dose, non négligeable, de bonne humeur."

"Mettre en scène des personnages peut faire rire ou pleurer. Christian Paix a fait le choix de déclencher le rire. Drôle voire comiques, ses scènes humoristiques colorent le quotidien d’une dose, non négligeable, de bonne humeur."

Dominique Mercier
Dominique Mercier

L'atelier de Dominique Mercier se situe au coeur des hortillonnages, à Camon, près d'Amiens dans la Somme, pays où l'eau et la terre se mélangent intimement.
L'eau, c'est aussi la mer, la mer qui rentre dans la terre, y fait son chemin, creuse, érode, s'infiltre, comme en Baie de Somme et en Baie d'Authie où elle a rêvé enfant et où elle trouve souvent l'inspiration. Elle essaie de restituer ces couleurs toujours changeantes, empreintes d'humidité, de terre et de lumière sourde.
Le RAKU et l'ENFUMAGE à la sciure lui permettent de retrouver ces matières brutes, craquelées jusqu'à devenir extrêmement lisses.

L'atelier de Dominique Mercier se situe au coeur des hortillonnages, à Camon, près d'Amiens dans la Somme, pays où l'eau et la terre se mélangent intimement.
L'eau, c'est aussi la mer, la mer qui rentre dans la terre, y fait son chemin, creuse, érode, s'infiltre, comme en Baie de Somme et en Baie d'Authie où elle a rêvé enfant et où elle trouve souvent l'inspiration. Elle essaie de restituer ces couleurs toujours changeantes, empreintes d'humidité, de terre et de lumière sourde.
Des courbes du sable et de l'eau, des animaux marins et des roches, naissent de grandes coques engobées, lisses et enfumées. Les galets doux se fendent, les roches creuses s'agglutinent et se plissent : coquilles vides travaillées par l'eau en mouvement, traces de vie toujours renouvelées.
La peau aussi est omniprésente dans des animaux aux poils et carapaces protecteurs, dans des femmes aux tissus de terre et des hommes en foule qui émergent et se serrent pour former un seul bloc.
Le RAKU et l'ENFUMAGE à la sciure lui permettent de retrouver ces matières brutes, craquelées jusqu'à devenir extrêmement lisses.

L'atelier de Dominique Mercier se situe au coeur des hortillonnages, à Camon, près d'Amiens dans la Somme, pays où l'eau et la terre se mélangent intimement.
L'eau, c'est aussi la mer, la mer qui rentre dans la terre, y fait son chemin, creuse, érode, s'infiltre, comme en Baie de Somme et en Baie d'Authie où elle a rêvé enfant et où elle trouve souvent l'inspiration. Elle essaie de restituer ces couleurs toujours changeantes, empreintes d'humidité, de terre et de lumière sourde.
Des courbes du sable et de l'eau, des animaux marins et des roches, naissent de grandes coques engobées, lisses et enfumées. Les galets doux se fendent, les roches creuses s'agglutinent et se plissent : coquilles vides travaillées par l'eau en mouvement, traces de vie toujours renouvelées.
La peau aussi est omniprésente dans des animaux aux poils et carapaces protecteurs, dans des femmes aux tissus de terre et des hommes en foule qui émergent et se serrent pour former un seul bloc.
Le RAKU et l'ENFUMAGE à la sciure lui permettent de retrouver ces matières brutes, craquelées jusqu'à devenir extrêmement lisses.

François Gaulier
François Gaulier

La sculpture, un art concret
Rodin a été le premier sculpteur à faire du collage à partir de pièces moulées issues de différentes sculptures. Le collage, technique aujourd'hui très commune - notamment dans le numérique - est reprise dans cette série de sculptures réalisées avec des morceaux de parpaing. Si le matériau est considéré comme pauvre, la feuille d'or le magnifie comme un bijou. L'unité des assemblages est soulignée par la texture et la couleur rouge de la craie grasse ou de la peinture acrylique.

Chacune de ces sculptures est une pièce unique car il est pratiquement impossible de retrouver le même morceau de parpaing fracturé. La façon de les assembler constitue sa signature même, le hasard s’immisçant parfois dans ces constructions imaginaires à la limite de l’abstraction.

La sculpture, un art concret

Rodin a été le premier sculpteur à faire du collage à partir de pièces moulées issues de différentes sculptures. Le collage, technique aujourd'hui très commune - notamment dans le numérique - est reprise dans cette série de sculptures réalisées avec des morceaux de parpaing. Si le matériau est considéré comme pauvre, la feuille d'or le magnifie comme un bijou. L'unité des assemblages est soulignée par la texture et la couleur rouge de la craie grasse ou de la peinture acrylique.

Chacune de ces sculptures est une pièce unique car il est pratiquement impossible de retrouver le même morceau de parpaing fracturé. La façon de les assembler constitue sa signature même, le hasard s’immisçant parfois dans ces constructions imaginaires à la limite de l’abstraction.

La sculpture, un art concret

Rodin a été le premier sculpteur à faire du collage à partir de pièces moulées issues de différentes sculptures. Le collage, technique aujourd'hui très commune - notamment dans le numérique - est reprise dans cette série de sculptures réalisées avec des morceaux de parpaing. Si le matériau est considéré comme pauvre, la feuille d'or le magnifie comme un bijou. L'unité des assemblages est soulignée par la texture et la couleur rouge de la craie grasse ou de la peinture acrylique.

Chacune de ces sculptures est une pièce unique car il est pratiquement impossible de retrouver le même morceau de parpaing fracturé. La façon de les assembler constitue sa signature même, le hasard s’immisçant parfois dans ces constructions imaginaires à la limite de l’abstraction.

Christina Marquès
Christina Marquès

Originaire de Vallauris, Cristina Marquès, dès l’âge de 5 ans, découpait dans les magazines des images qui la faisaient rêver et créait des pêle-mêle. Elle adorait se rendre dans les ateliers des céramistes – potiers et passer des heures à regarder leurs gestes ancestraux : ce tour grâce auquel, comme par magie, une motte de terre se transformait en pot, plat ou assiette !
C’est à ce moment précis qu’elle a su que la transformation de la matière première par la création la fascinait. A l’âge de 20 ans, elle quitte le Sud pour rejoindre Paris et y étudier l’Art. Cela lui permet de découvrir de nombreuses techniques allant de la peinture à la création de décors. Elle apprend à maîtriser le travail de la matière dont le verre acrylique (aussi appelé Altuglas ou Plexiglas).../...

Originaire de Vallauris, Cristina Marquès, dès l’âge de 5 ans, découpait dans les magazines des images qui la faisaient rêver et créait des pêle-mêle. Elle adorait se rendre dans les ateliers des céramistes – potiers et passer des heures à regarder leurs gestes ancestraux : ce tour grâce auquel, comme par magie, une motte de terre se transformait en pot, plat ou assiette !
C’est à ce moment précis qu’elle a su que la transformation de la matière première par la création la fascinait. A l’âge de 20 ans, elle quitte le Sud pour rejoindre Paris et y étudier l’Art. Cela lui permet de découvrir de nombreuses techniques allant de la peinture à la création de décors. Elle apprend à maîtriser le travail de la matière dont le verre acrylique (aussi appelé Altuglas ou Plexiglas). Diplômée en 2000 de l’école MJM Graphic Design de Paris, elle s’essaie aux métiers d’assistante de décor, d’accessoiriste de plateau pour les Guignols de l’Info sur Canal Plus et d’assistante décor plateau pour plusieurs courts métrages .../...

Originaire de Vallauris, Cristina Marquès, dès l’âge de 5 ans, découpait dans les magazines des images qui la faisaient rêver et créait des pêle-mêle. Elle adorait se rendre dans les ateliers des céramistes – potiers et passer des heures à regarder leurs gestes ancestraux : ce tour grâce auquel, comme par magie, une motte de terre se transformait en pot, plat ou assiette !
C’est à ce moment précis qu’elle a su que la transformation de la matière première par la création la fascinait. A l’âge de 20 ans, elle quitte le Sud pour rejoindre Paris et y étudier l’Art. Cela lui permet de découvrir de nombreuses techniques allant de la peinture à la création de décors. Elle apprend à maîtriser le travail de la matière dont le verre acrylique (aussi appelé Altuglas ou Plexiglas). Diplômée en 2000 de l’école MJM Graphic Design de Paris, elle s’essaie aux métiers d’assistante de décor, d’accessoiriste de plateau pour les Guignols de l’Info sur Canal Plus et d’assistante décor plateau pour plusieurs courts métrages .../...

Marine Dargent Wolfert
Marine Dargent Wolfert

Je travaille le modelage de la terre pour sculpter le mouvement avec poésie et humour.

Je travaille le modelage de la terre pour sculpter le mouvement avec poésie et humour.

Je travaille le modelage de la terre pour sculpter le mouvement avec poésie et humour.

JC Cronel
JC Cronel

"Né en 1975 à Nancy, J'ai exprimé dés l'enfance un goût pour la création artistique, par le dessin comme moyen de matérialiser un sens de l'observation déjà très affirmé. Jeune homme, j'ai commencé à intégrer de la couleur à mes créations, par la peinture acrylique et commencé à montrer mes tableaux dans des expositions. La rencontre avec la sculpture à 20 ans à changé mon approche artistique.../..."

"Né en 1975 à Nancy, J'ai exprimé dés l'enfance un goût pour la création artistique, par le dessin comme moyen de matérialiser un sens de l'observation déjà très affirmé. Jeune homme, j'ai commencé à intégrer de la couleur à mes créations, par la peinture acrylique et commencé à montrer mes tableaux dans des expositions. La rencontre avec la sculpture à 20 ans à changé mon approche artistique : le modelage de l'argile à fait naître ma passion pour la sculpture qui ne m'a plus quittée. La matière, comme source de création, j'ai expérimenté tous les matériaux qui me passaient sous les mains : la terre, le bois, la pierre, la résine avec chacun leurs caractéristique et un appel créatif différent.
.../..."

"Né en 1975 à Nancy, J'ai exprimé dés l'enfance un goût pour la création artistique, par le dessin comme moyen de matérialiser un sens de l'observation déjà trés affirmé. Jeune homme, j'ai commencé à intégrer de la couleur à mes créations, par la peinture acrylique et commencé à montrer mes tableaux dans des expositions. La rencontre avec la sculpture à 20 ans à changé mon approche artistique : le modelage de l'argile à fait naître ma passion pour la sculpture qui ne m'a plus quittée. La matière, comme source de création, j'ai expérimenté tous les matériaux qui me passaient sous les mains : la terre, le bois, la pierre, la résine avec chacun leurs caractéristique et un appel créatif différent.

L'anatomie, s'est très vite imposée dans mon travail. Ma volonté était d’insuffler à mes corps épurés et minimalistes de l'émotion et du sentiment et surtout beaux. Mon intérêt s'est porté sur l'étude de la synergologie, cette "science" du comportement corporel et gestuel afin de peaufiner mon approche, Le Fond, dans la Forme."

WIDYZ
WIDYZ

"Graffiti , peinture , sculpture, ici et là-bas."

"Graffiti , peinture , sculpture, ici et là-bas."

"Graffiti , peinture , sculpture, ici et là-bas."

Denis Michel
Denis Michel

Denis Michel créé ses œuvres en métal à base de matériaux de récupération.

Denis Michel créé ses œuvres en métal à base de matériaux de récupération.

Denis Michel créé ses œuvres en métal à base de matériaux de récupération.